Dehors le printemps filait doux, tout était tiède. À Westmont touffu d’arbres verts et aussi d’enfants, de piétons qui n’étaient pas tous de jeunes carriéristes comme sur le Plateau mais des professionnels établis, des parents aussi, à Westmont regorgeant de parcs, de restos et de cafés, de rues en pentes parfois abruptes parsemées de maisons de plus en plus luxueuses à mesure qu’on approchait du sommet de la montagne, (…). (À ciel ouvert, p. 201).
Par rapport au centre-ville où la nature était faite de mouettes, de chiens et de clochards parmi les miettes de pain comme une même famille, un écosystème à la echerche de morceaux sous la dent, de bouteilles vides et de mégots de cigarettes, Westmont sentait bon. (À ciel ouvert, p. 201-202).
Par rapport au centre-ville où la nature était faite de mouettes, de chiens et de clochards parmi les miettes de pain comme une même famille, un écosystème à la echerche de morceaux sous la dent, de bouteilles vides et de mégots de cigarettes, Westmont sentait bon. (À ciel ouvert, p. 201-202).