jeudi 23 septembre 2010

Floride

En anglais, je ne savais parler que de marques de commerce, de la Floride, de Sex in the City et de potins chez les vedettes américaines; (…). (Folle, p. 182).

(…), peut-être parce qu’elles lui faisaient trop penser à son grand-père O’Brien qui passait, depuis les vingt dernières années, tous ses hivers en Floride. (À ciel ouvert, p. 243).

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