jeudi 23 septembre 2010

Sherbrooke (rue)

Cette période-là je l’ai passée dans mon trois pièces au coin de la rue Saint-Denis et de la rue Sherbrooke. (Folle, p. 89).

Nadine me tournait le dos et debout fumait une cigarette en direction de la rue Sherbrooke, puis elle s’est assise à l’indienne, toujours de dos. (Folle, p. 118).

Il n’est pas possible que vous ne vous soyez pas aimés, elle et toi, dans le parc Lafontaine encadré dans la fenêtre de ta chambre. Ce parc était mon parc préféré avant de te connaître et maintenant qu’il t’appartient, il n’est plus fréquentable, sa grandeur me rappelle trop la tienne. C’est le parc des couples qui marchent en silence et des écureuils habitués au bruit des voitures, c’est aussi le parc des homosexuels et des petits enfants. L’été la vie y est très belle pour tous ceux dont le métier est de garder la forme, je dis ça parce que je m’y suis fait bronzer des étés entiers en attendant mes clients pour qui je louais un studio au coin de la rue Sherbrooke et de la rue Amherst. (Folle, p. 129).

Ensuite on est passés sur le balcon où je me suis entièrement dénudée et où on m’a photographiée chaussée de patins à roulettes sur fond de la rue Sherbrooke d’où une volée de klaxons s’est fait entendre. (Folle, p. 190).

Rose et Marc marchaient côte à côte rue Sherbrooke Ouest, posément, dans l’air doux. (À ciel ouvert, p. 202).

En marchant rue Sherbrooke Ouest, Marc avait posé une main sur l’épaule de Rose, faisant d’eux un couple en bonne et due forme devant les passants qui les regardaient comme un couple, un vrai, (…). (À ciel ouvert, p. 205).

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