jeudi 23 septembre 2010

Saguenay-Lac-Saint-Jean

Rose avait grandi dans une famille typique du Saguenay-Lac-Saint-Jean, à Chicoutimi, au milieu d’un pullument femelle répandu en long et en large de ce coin de pays reconnu pour n’engendrer que des filles. Mais ce pullulement avait chez elle déterminé une vision increvable du monde. Même en dehors de son Saguenay natal le surplus avait lieu, (…). (À ciel ouvert, p. 26).

L’anomalie du côté des femmes selon Rose venait de la décision de la nature de les faire naître en plus grand nombre en certains endroits du monde comme au Saguenay-Lac-Saint-Jean, de les stocker en cas d’extinction de la race, (…). (À ciel ouvert, p. 27).

À Montréal le Plateau est le quartier où la concentration de femmes est la plus forte. Mais tu devrais voir au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Les statistiques se contre-disent mais selon les plus sombres on compte sept femmes pour un homme. (À ciel ouvert, p. 89).

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