jeudi 23 septembre 2010

Mile End

De ton côté tu vivais à longueur de journée attablé à ton ordinateur pour écrire tes articles, tu restais toute la journée dans ta chambre ou encore tu te sauvais, ton portable sous le bras, écrire dans un des cafés du Plateau; le plus souvent tu allais à l’Eldorado mais de rares fois tu te poussais jusqu’au Mile End pour écrire à l’Olympico. (Folle, p. 127).

Tu avais l’Eldorado, le Café So puis dans le Mile End, l’Olympico; de mon côté j’avais Les Gâteries, La Brûlerie puis Le Pèlerin. (Folle, p. 165).

Montréal comptait encore plus de femmes que d’habitude. Au Plan B on en était à trois femmes pour un homme, au Baraka et à l’Assommoir, le ratio pouvait aller plus loin. Dans le Mile-End et dans tous les restaurants du Plateau, toujours ce désavantage numérique chez les femmes en trop grand nombre où, en plus, elles battaient des records de jeunesse. (À ciel ouvert, p. 43).

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