Isabelle lui avait raconté le détail de sa vie à Madrid où elle allait, de loin en loin, faire du modeling mais surtout se prostituer, comme elle avait l’habitude de le faire à Montréal, Londres ou Paris. (À ciel ouvert, p. 98).
Les transsexuels pour qui la transformation était une réussite, et qui se ressemblaient les uns les autres parce que refondus par les mêmes chirurgiens de Madrid, les uns les autres avec ces mêmes sourcils placés haut en oblique sur le front qui plaquaient sur eux cet éternel regard par-dessous, la bouche ampoulée comme un sexe au mulieu du visage, (…). (À ciel ouvert, p. 98).
Elle avait ce corps-vulve des transsexuels de Madrid, tout d’elle appelait l’érection, son sexe la recouvrait de la tête aux pieds comme une peau de cuir. (À ciel ouvert, p. 222).
Les transsexuels pour qui la transformation était une réussite, et qui se ressemblaient les uns les autres parce que refondus par les mêmes chirurgiens de Madrid, les uns les autres avec ces mêmes sourcils placés haut en oblique sur le front qui plaquaient sur eux cet éternel regard par-dessous, la bouche ampoulée comme un sexe au mulieu du visage, (…). (À ciel ouvert, p. 98).
Elle avait ce corps-vulve des transsexuels de Madrid, tout d’elle appelait l’érection, son sexe la recouvrait de la tête aux pieds comme une peau de cuir. (À ciel ouvert, p. 222).
Aucun commentaire:
Publier un commentaire