jeudi 23 septembre 2010

Tokyo

(…), trop d’espace vide à combler, il y a la silhouette de la statue de sel de la Bible de mon père qui s’évanouit peu à peu dans le défilement des saisons, les étoiles mortes dont le feu de l’explosion ne nous parvient que trois millions d’années lumière plus tard, le fourmillement des Japonais à Tokyo, (…). (Putain, p. 44).

(…), too much empty space to fill in, there’s the figure of the pillar of salt in my father’s Bible, which diminishes bit by bit as the seasons pass, the dead stas whose exploding energy reaches us three million years later, the commotion of the Japanese in Tokyo, (…). (Whore, p. 37).

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