(…), c’est peut-être qu’on m’a trop souvent répété que je n’étais qu’une poussière dans l’immensité de l’univers, un tas de molécules dont l’espérance de vie ne peut qu’être dérisoire, une étincelle qui ne changera rien aux retombées du Big Bang, et couchée là dans l’herbe en comptant les étoiles avec les enfants du voisinage, essayant de repérer la Grande Ourse, (…). (Putain, p. 68).
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