jeudi 23 septembre 2010

Saint-Dominique (rue)

À Nova rue Saint-Dominique où on s’est vus pour la première fois, on ne pouvait rien au désastre de notre rencontre. (Folle, p. 7).

Ce soir-là rue Saint-Dominique je t’ai aimé tout de suite sans réfléchir à ma fin programmée depuis le jour de mes quinze ans, (…). (Folle, p. 7).

D’ailleurs si mon grand-père avait été là à Nova rue Saint-Dominique, il m’aurait poussée dans tes bras pour donner plus d’élan au désastre; mon grand-père croyait à la beauté des accidentés. (Folle, p. 8).

(…), mon dieu que j’aurais aimé qu’on ne se soit jamais rencontrés à Nova rue Saint-Dominique. (Folle, p. 19).

Chaque année Orion organisait dans un immense loft de la rue Saint-Dominique quatre grands after hours correspondant au premier jour des quatre saisons : Géante Bleue au premier jour du printemps, Nova au premier jour de l’été, Trou Noir au premier de l’automne et Big Bang au premier de l’hiver. (Folle, p. 24).

Je t’ai suivi jusqu’au bout au Bily Kun et souvent ailleurs, à la SAT ou encore dans les after hours rue Saint-Dominique comme au Trou Noir en automne et au Big Bang en hiver quand le Bily Kun fermait ses portes à trois heures du matin. (Folle, p. 56).

Quand on est finalement sortis du loft rue Saint-Dominique, au petit matin de Nova, est survenu un événement dont on n’a jamais reparlé par la suite. (Folle, p. 197).

À ce moment, on parlait cinéma, je m’en souviens parce que en marchant vers le nord rue Saint-Dominique tu as sifflé en me tenant au coin de ton œil jusqu’à ce qu’un hurlement de femme nous arrête. (Folle, p. 198).

Josée m’attendait dans le parc Lafontaine depuis deux heures; je lui ai remis les clés de ma voiture et je lui ai demandé de faire un détour sur l’avenue Mont-Royal, puis un autre sur la rue Saint-Dominique, pour passer une dernière fois devant le Bily Kun, puis devant le loft de notre after hour. (Folle, p. 203-204).

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