jeudi 23 septembre 2010

Mont-Royal (l’avenue)

Josée m’attendait dans le parc Lafontaine depuis deux heures; je lui ai remis les clés de ma voiture et je lui ai demandé de faire un détour sur l’avenue Mont-Royal, puis un autre sur la rue Saint-Dominique, pour passer une dernière fois devant le Bily Kun, puis devant le loft de notre after hour. (Folle, p. 203-204).

Au même moment un vacarme de klaxons s’était fait entendre sur l’avenue Mont-Royal à travers lequel passaient des cris de victoire, du bonheur hurlé et gueulé, sans discours, une joie brute, un assaut. (À ciel ouvert, p. 19).

Plusieurs voitures s’étaient arrêtées au feu rouge au coin de l’avenue Coloniale, remplies d’hommes accompagnés de leurs femelles, beuglant, faisant voler hors des fenêtres des drapeaux portugais aux trois couleurs avec autre chose à l’intérieur, du barbouillage, emblème indéfinissable depuis le toit de l’immeuble. D’autres voitures également remplies de cris et ornées de drapeaux passaient dans les deux sens sur l’avenue Mont-Royal, ayant croisé ou allant à la rencontre de la procession Krishna qu’elles allaient écarter de la conscience des Montréalais, tant elles les surpassaient en bruit. (À ciel ouvert, p. 19).

C’était un après-midi au Nautilus, au coin des avenues Mont-Royal et Saint-Laurent. (À ciel ouvert, p. 29).

Julie était visible sur le toit depuis l’avenue Mont-Royal, Rose la reconnaissait par ses cheveux courts, presque blancs à force. (À ciel ouvert, p. 44).

Le surlendemain de leur rencontre, Charles et Julie s’étaient croisés sur l’avenue Mont-Royal. (À ciel ouvert, p. 66).

Bertrand s’était allumé une cigarette avant d’allumer celle que Rose tenait entre les doigts depuis un moment, laissant s’éloigner Charles et Julie qui parlaient, marchaient vite, sur l’avenue Mont-Royal, vers leur immeuble. (À ciel ouvert, p. 122).

En voulant gravir la montagne du côté de l’avenue Mont-Royal, elle avait fait une rencontre. (À ciel ouvert, p. 208).

Une femme qui marchait sur l’avenue Mont-Royal avait vu le corps s’écraser, et cet événement n’avait pas pris tout de suite de sens pour elle, (…). (À ciel ouvert, p. 251).

Quand nous avons repris Berri direction nord, j’étais certaine que le chauffeur allait me ramener dans le stationnement où il m’avait cueillie. Mais nous sommes passés sans même ralentir, sans réaction du conducteur fantôme. Puis, quand nous avons pris Saint-Denis vers l’avenue du Mont-Royal, j’ai pensé qu’il allait me déposer chez moi, à ma porte. (Paradis, clef en main, p. 55).

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