jeudi 23 septembre 2010

Java U (café)

En regardant Rose elle le voyait successivement en divers endroits de la ville, au gym et au Java U, parfois seul ou accompagné d’une femme restée floue qui devait être Rose, (…). (À ciel ouvert, p. 17).

C’était toujours la même table posée face à une grande fenêtre qui donnait sur la rue Saint-Denis, au Java U. (À ciel ouvert, p. 147).

Le Java U était devenu son café à force de le fréquenter et d’y prendre ses aises, elle s’y était fait admettre en tant que cliente régulière, obstinée, en bonne payeuse qui savait laisser du pourboire. Son assiduité garantissait le respect des employés qui gardaient la table pour elle d’un petit carton de réservation qu’ils posaient en travers jusqu’à onze heures, après quoi, si Julie n’était pas venue, ils enlevaient le carton sans lui en tenir rancune, préférant quand même qu’elle leur passe un cop de fil au cas où ses plans, au réveil, la mènerait ailleurs. (À ciel ouvert, p. 148).

Après avoir couru une heure sur son tapis roulant, Julie avait décidé de quitter le gym trop encombré et de s’installer au Java U pour manger et écrire. (À ciel ouvert, p. 183).

Dehors un long crissement de pneus, suivi du choc d’une collision entre deux voitures, avait fait tourner toutes les têtes dans le Java U, sauf celles de Julie et de Rose. (À ciel ouvert, p. 185).

Julie O’Brien faisait du jogging, dehors, des écouteurs sur les oreilles, sur Under My Thumb, une chanson des Rolling Stones, au grand air du mois de juillet, vers le mont Royal qu’elle gravirait jusqu’au sommet pour le redescendre vers le Java U où elle écrirait quelques heures, relaxée, devant un sandwich au thon, pourquoi pas un jus de carotte. (À ciel ouvert, p. 208).

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