jeudi 23 septembre 2010

Irak

Ce soir-là aucun évènement, pas même le son du glas de tous les gratte-ciel menacés de l’Occident ni la balle dans le pied que les Américains se sont tirée en pointant leurs armes sur l’Irak, n’aurait rien pu contre les miroirs qui doublaient notre rencontre au-delà du mur, rien n’a jamais rien pu contre la nécessité de me tenir à l’œil, (...). (Folle, p. 157-158).

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