jeudi 23 septembre 2010

Saint-Denis (rue)

Cette période-là je l’ai passée dans mon trois pièces au coin de la rue Saint-Denis et de la rue Sherbrooke. (Folle, p. 89).

On était d’accord pour dire que le sentiment du dérisoire qui survient en écrivant incitait aux plaisirs simples dont il fallait absolument se protéger comme les plaisirs du frigo, des bains de soleil sur le balcon, des promenades à l’ombre des érables du parc Lafontaine et des après-midi sur les terrasses de la rue Saint-Denis, de la pornographie pour toi et pour moi, qui ai toujours eu un penchant pour l’alcool, des pichets de sangria. (Folle, p. 166-167).

La deuxième fois que Rose avait vu Julie, c’était dans la file du Meu Meu, sur Saint-Denis, toujours sous un soleil acide, (…). (À ciel ouvert, p. 31).

(…); et c’est dans une contemplation pleine d’afection et de compréhension nouvelles qu’elle avait regardé des milliers de gens défiler sur la rue Saint-Denis pour protester contre l’invasion de l’armée israélienne au Liban. (À ciel ouvert, p. 137-138).

Une marée humaine avait descendu pendant des heures de la rue Saint-Denis sous les yeux souriants de Julie qui était avec eux parce qu’elle se sentait amoureuse, (…). (À ciel ouvert, p. 138).

C’était toujours la même table posée face à une grande fenêtre qui donnait sur la rue Saint-Denis, au Java U. (À ciel ouvert, p. 147).

Quand nous avons repris Berri direction nord, j’étais certaine que le chauffeur allait me ramener dans le stationnement où il m’avait cueillie. Mais nous sommes passés sans même ralentir, sans réaction du conducteur fantôme. Puis, quand nous avons pris Saint-Denis vers l’avenue du Mont-Royal, j’ai pensé qu’il allait me déposer chez moi, à ma porte. (Paradis, clef en main, p. 55).

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