jeudi 23 septembre 2010

Saint-Laurent (fleuve)

Un coup d’œil à ma montre : 17h07. Nous avions roulé pendant deux heures, sans que je sache où, ballottée, sans repères. C’était du kidnapping. L’idée que nous avions pu ester sur le pont, sortant de la ville pour y retourner aussitôt, roulant en circuit fermé pendant deux heures au-dessus de la paresse des flots du fleuve Saint-Laurent, ne m’est pas parue impossible. (Paradis, clef en main, p. 55).

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