191, avenue du Mont-Royal Ouest, Montréal (QC)
C’était la tombée du jour en un début de mois d’avril, Rose était assise dans une pâtisserie avenue Coloniale, la Baguette Dorée, qui était aussi une boulangerie et un café tout à la fois, située en face de l’immeuble où elle n’habitait plus mais où elle avait encore quelques cartons, tenus là au chaud comme prétextes à y revenir. (À ciel ouvert, p. 162).
Julie s’était arrêtée devant la vitrine de la Baguette Dorée où Charles l’avait rejointe. (À ciel ouvert, p. 165-166).
Elle était bronzée et habillée avec élégance, et elle n’avait pas cet air hagard de la fois où elle avait été surprise à la Baguette Dorée. (À ciel ouvert, p. 184).
« Depuis la Baguette Dorée j’ai l’impression que tu es toujours dans les parages », avait continué Julie. (À ciel ouvert, 2007, p. 185).
C’était la tombée du jour en un début de mois d’avril, Rose était assise dans une pâtisserie avenue Coloniale, la Baguette Dorée, qui était aussi une boulangerie et un café tout à la fois, située en face de l’immeuble où elle n’habitait plus mais où elle avait encore quelques cartons, tenus là au chaud comme prétextes à y revenir. (À ciel ouvert, p. 162).
Julie s’était arrêtée devant la vitrine de la Baguette Dorée où Charles l’avait rejointe. (À ciel ouvert, p. 165-166).
Elle était bronzée et habillée avec élégance, et elle n’avait pas cet air hagard de la fois où elle avait été surprise à la Baguette Dorée. (À ciel ouvert, p. 184).
« Depuis la Baguette Dorée j’ai l’impression que tu es toujours dans les parages », avait continué Julie. (À ciel ouvert, 2007, p. 185).
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