Quand j’étais petite, je me passionnais pour le cosmos et l’Antarctique, pour le Goenland dont la surface ocre était bombée sur mon globe terrestre, celui que mon père m’avait offert en me confiant qu’il aurait voulu être navigateur pour vivre au large et se laisser aller là où le vent porte, sans famille à nourrir, (…). (Putain, p. 67).
When I was small, I was wild about the cosmos and Antarctica, about Greenland, whose ocher surface showed in relief on my globe, (…). (Whore, p. 59).
Et j’aimerais vous dire la splendeur des paysages et des couchers de soleil, la senteur des lilas et tout le reste, ce qui rend heureux, l’inoffensif de ce qui n’a pas de sexe, comme une nuit étoilée ou encore l’histoire d’un peuple, la naissance du Christ et la conquête de l’Antarctique, je pourrais vous décrire la beauté du monde si je savais la voir, (…). (Putain, p. 79).
And I’d love to tell you about the splendor of landscapes and setting suns, the smell of lilacs and everything else, all those things that make you happy, inoffensive things without sex, like a starry night or the history of a people, the birth of Christ and the conquest of the Antarctic, I could describe the beauty of the world to you if I knew how to see it, (…). (Whore, p. 71).
When I was small, I was wild about the cosmos and Antarctica, about Greenland, whose ocher surface showed in relief on my globe, (…). (Whore, p. 59).
Et j’aimerais vous dire la splendeur des paysages et des couchers de soleil, la senteur des lilas et tout le reste, ce qui rend heureux, l’inoffensif de ce qui n’a pas de sexe, comme une nuit étoilée ou encore l’histoire d’un peuple, la naissance du Christ et la conquête de l’Antarctique, je pourrais vous décrire la beauté du monde si je savais la voir, (…). (Putain, p. 79).
And I’d love to tell you about the splendor of landscapes and setting suns, the smell of lilacs and everything else, all those things that make you happy, inoffensive things without sex, like a starry night or the history of a people, the birth of Christ and the conquest of the Antarctic, I could describe the beauty of the world to you if I knew how to see it, (…). (Whore, p. 71).
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