mercredi 22 septembre 2010

Appalaches

Quand par principe cette semaine-là on allait prendre l’air de la campagne, debout en déséquilibre sur les grosses roches qui nous séparaient de l’eau, on manquait tout de la beauté des Appalaches qui contournaient le lac et du soleil qui finissait toujours par atterrir au sommet d’une montagne célèbre dans le coin à cause de sa rotondité parfaite au sein de géante couchée sur l’horizon, tant on s’embrassait. (Folle, p. 39-40).

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