112, Bernard O, Montréal (QC)
Montréal comptait encore plus de femmes que d’habitude. Au Plan B on en était à trois femmes pour un homme, au Baraka et à l’Assommoir, le ratio pouvait aller plus loin. Dans le Mile-End et dans tous les restaurants du Plateau, toujours ce désavantage numérique chez les femmes en trop grand nombre où, en plus, elles battaient des records de jeunesse. (À ciel ouvert, p. 43).
Le bar Les Folies, non loin du Plan B, paraissait idéal comme endroit parce que ni l’un ni l’autre n’y étaient jamais allés, et puisque Rose irait les chercher, de façon spontanée, dans les endroits déjà connus et fréquentés, comme l’Assommoir, le Baraka ou le Bily Kun. (À ciel ouvert, p. 67).
Le paquet doré qui brillait sur la table orange avait ramené le souvenir d’un soir d’horreur où elle avait offert, à l’Assommoir, une fleur à une jeune femme, une blonde, que Steve fréquentait après l’avoir quittée. (À ciel ouvert, p. 75).
Il était clair pour elle à l’Assommoir qu’il fallait changer son impuissance en un rôle actif, actif comme garder la tête haute, mais elle ne s’était qu’humiliée davantage, (…). (À ciel ouvert, p. 75).
Après l’Assommoir Steve avait compris qu’il valait mieux ne plus encourager Julie en lui adressant la parole, (…). (À ciel ouvert, p. 76).
Julie entendait Rose mais restait à contempler son propre cauchemar le soir de l’Assommoir à travers le paquet de cigarettes qu’elle avait fini par ouvrir pour y prendre une cigarette avant de l’allumer. (À ciel ouvert, p. 77).
Julie se voyait simultanément en deux bars différents de la ville, l’Assommoir et le Tap Room, sans trop savoir lequel venait avant l’autre. (À ciel ouvert, p. 90).
Elle était heurtée et, dans son malaise, dans son sentiment d’être ridicule devant témoin, Julie se voyait telle qu’elle avait été, il y avait des années de cela, des fleurs à la main; elle se voyaitelle-même renvoyée, congédiée du bar L’Assommoir. (À ciel ouvert, p. 158-159).
Montréal comptait encore plus de femmes que d’habitude. Au Plan B on en était à trois femmes pour un homme, au Baraka et à l’Assommoir, le ratio pouvait aller plus loin. Dans le Mile-End et dans tous les restaurants du Plateau, toujours ce désavantage numérique chez les femmes en trop grand nombre où, en plus, elles battaient des records de jeunesse. (À ciel ouvert, p. 43).
Le bar Les Folies, non loin du Plan B, paraissait idéal comme endroit parce que ni l’un ni l’autre n’y étaient jamais allés, et puisque Rose irait les chercher, de façon spontanée, dans les endroits déjà connus et fréquentés, comme l’Assommoir, le Baraka ou le Bily Kun. (À ciel ouvert, p. 67).
Le paquet doré qui brillait sur la table orange avait ramené le souvenir d’un soir d’horreur où elle avait offert, à l’Assommoir, une fleur à une jeune femme, une blonde, que Steve fréquentait après l’avoir quittée. (À ciel ouvert, p. 75).
Il était clair pour elle à l’Assommoir qu’il fallait changer son impuissance en un rôle actif, actif comme garder la tête haute, mais elle ne s’était qu’humiliée davantage, (…). (À ciel ouvert, p. 75).
Après l’Assommoir Steve avait compris qu’il valait mieux ne plus encourager Julie en lui adressant la parole, (…). (À ciel ouvert, p. 76).
Julie entendait Rose mais restait à contempler son propre cauchemar le soir de l’Assommoir à travers le paquet de cigarettes qu’elle avait fini par ouvrir pour y prendre une cigarette avant de l’allumer. (À ciel ouvert, p. 77).
Julie se voyait simultanément en deux bars différents de la ville, l’Assommoir et le Tap Room, sans trop savoir lequel venait avant l’autre. (À ciel ouvert, p. 90).
Elle était heurtée et, dans son malaise, dans son sentiment d’être ridicule devant témoin, Julie se voyait telle qu’elle avait été, il y avait des années de cela, des fleurs à la main; elle se voyaitelle-même renvoyée, congédiée du bar L’Assommoir. (À ciel ouvert, p. 158-159).
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