Plusieurs voitures s’étaient arrêtées au feu rouge au coin de l’avenue Coloniale, remplies d’hommes accompagnés de leurs femelles, beuglant, faisant voler hors des fenêtres des drapeaux portugais aux trois couleurs avec autre chose à l’intérieur, du barbouillage, emblème indéfinissable depuis le toit de l’immeuble. D’autres voitures également remplies de cris et ornées de drapeaux passaient dans les deux sens sur l’avenue Mont-Royal, ayant croisé ou allant à la rencontre de la procession Krishna qu’elles allaient écarter de la conscience des Montréalais, tant elles les surpassaient en bruit. (À ciel ouvert, p. 19).
Pour Rose il s’imposerait comme un signe beaucoup plus personnel, c’était plutôt le monde entier qui s’adressait à elle, en destinataire de son erreur, en se tassant sur lui-même au-dessus de l’avenue Coloniale pour lui dire quelque chose de terrible, à cause de Julie, à cause de cette rencontre qu’elle avait initiée. (À ciel ouvert, p. 22).
Julie O’Brien était chez elle avenue Coloniale, allongée sur son divan en cuir brun, les yeux au plafond à penser à Steve Grondin, son dernier amour. (À ciel ouvert, p. 49).
Elle se souvenait de Rose disparue avec Bertrand une fois la troupe à l’intérieur de l’immeuble avenue Coloniale, de Charles qui était resté avec elle pour parler et parler, boire encore et sniffer un peu, pendant un temps incertain, qui passait à la fois très long et très court. (À ciel ouvert, p. 91).
Rose roulait maintenant avenue Coloniale, à deux pas de son immeuble. (À ciel ouvert, p. 114).
La vie prise à l’intérieur est vouée à se tordre sous son poids et à saigner, s’imaginait Rose qui avait la tête encore pleine du foudroiement de la rambarde où elle avait lâché ses souliers en bas de l’immeuble, dispendieuses pantoufles retrouvées au milieu de l’avenue Coloniale, écrasées par les roues d’une voiture. (À ciel ouvert, p. 118).
C’était la tombée du jour en un début de mois d’avril, Rose était assise dans une pâtisserie avenue Coloniale, la Baguette Dorée, qui était aussi une boulangerie et un café tout à la fois, située en face de l’immeuble où elle n’habitait plus mais où elle avait encore quelques cartons, tenus là au chaud comme prétextes à y revenir. (À ciel ouvert, p. 162).
Rose avait quitté son abri derrière les étagères de pains pour se rasseoir à la table, devant la vitrine qui donnait sur l’avenue Coloniale. (À ciel ouvert, p. 167).
Puis en se retournant vers le dehors, vers l’avenue Coloniale, elle était tombée sur Julie qui se tenait debout, droite, dans la vitrine, qui la fixait de son visage dur, des larmes encore humides sur les joues, (…). (À ciel ouvert, p. 167).
Sur l’avenue Coloniale il n’y avait personne, les environs étaient déserts, sur le toit la foule se dispersait en hésitant, certains voulaient partir et les autres rester. (À ciel ouvert, p. 251).
Pour Rose il s’imposerait comme un signe beaucoup plus personnel, c’était plutôt le monde entier qui s’adressait à elle, en destinataire de son erreur, en se tassant sur lui-même au-dessus de l’avenue Coloniale pour lui dire quelque chose de terrible, à cause de Julie, à cause de cette rencontre qu’elle avait initiée. (À ciel ouvert, p. 22).
Julie O’Brien était chez elle avenue Coloniale, allongée sur son divan en cuir brun, les yeux au plafond à penser à Steve Grondin, son dernier amour. (À ciel ouvert, p. 49).
Elle se souvenait de Rose disparue avec Bertrand une fois la troupe à l’intérieur de l’immeuble avenue Coloniale, de Charles qui était resté avec elle pour parler et parler, boire encore et sniffer un peu, pendant un temps incertain, qui passait à la fois très long et très court. (À ciel ouvert, p. 91).
Rose roulait maintenant avenue Coloniale, à deux pas de son immeuble. (À ciel ouvert, p. 114).
La vie prise à l’intérieur est vouée à se tordre sous son poids et à saigner, s’imaginait Rose qui avait la tête encore pleine du foudroiement de la rambarde où elle avait lâché ses souliers en bas de l’immeuble, dispendieuses pantoufles retrouvées au milieu de l’avenue Coloniale, écrasées par les roues d’une voiture. (À ciel ouvert, p. 118).
C’était la tombée du jour en un début de mois d’avril, Rose était assise dans une pâtisserie avenue Coloniale, la Baguette Dorée, qui était aussi une boulangerie et un café tout à la fois, située en face de l’immeuble où elle n’habitait plus mais où elle avait encore quelques cartons, tenus là au chaud comme prétextes à y revenir. (À ciel ouvert, p. 162).
Rose avait quitté son abri derrière les étagères de pains pour se rasseoir à la table, devant la vitrine qui donnait sur l’avenue Coloniale. (À ciel ouvert, p. 167).
Puis en se retournant vers le dehors, vers l’avenue Coloniale, elle était tombée sur Julie qui se tenait debout, droite, dans la vitrine, qui la fixait de son visage dur, des larmes encore humides sur les joues, (…). (À ciel ouvert, p. 167).
Sur l’avenue Coloniale il n’y avait personne, les environs étaient déserts, sur le toit la foule se dispersait en hésitant, certains voulaient partir et les autres rester. (À ciel ouvert, p. 251).
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