jeudi 23 septembre 2010

Connecticut

Il avait d’abord été sonné d’apprendre que Marie-Claude allait vivre aux États-Unis, dans le Connecticut, pendant une durée de six mois pour perfectionner son anglais, (…). (À ciel ouvert, p. 189).

(…), Charles, serait parti pendant un an apprendre l’anglais aux États-Unis, au Connectitut, alors qu’il n’en était rien. (À ciel ouvert, p. 190).

(…), il se trouvait que le Connecticut était justement l’État aux États-Unis qui accueillait le plus grand nombre d’étudiants du Québec en immersion anglaise. (À ciel ouvert, p. 190).

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